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Tous nos produits sont conçus par notre équipe de pharmaciens. L’objectif est de fournir des compléments nutritionnels les plus sains et les plus performants pour tous les sportifs et toutes les pratiques. Tous nos produits sont sans additifs et sans édulcorants.

Objectifs

  • Récupération quotidienne
  • Prise de masse
  • Récupération intense
  • Puissance musculaire
  • Apport glucidique
  • Charge glucidique

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Athlète heureux célébrant la qualité des produits Protéalpes, sans additifs ni édulcorants, pour une nutrition sportive pure.

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nutrition

Oméga-3 : faut-il vraiment se supplémenter ?

Mise à jour le 14 novembre 2025 (il y a 1 jour) par l’équipe de pharmaciens Protéalpes

Tranche de saumon frais sur planche en bois avec herbes, idéal pour une alimentation sportive naturelle et sans additifs.

Malgré leur réputation d’alliés santé, les oméga-3 restent souvent mal compris : huiles, poissons, gélules… tout semble bon, mais tout ne se vaut pas.

Résultat : la majorité des Français ont un taux d’oméga-3 deux à trois fois inférieur aux niveaux associés à une bonne santé cardiovasculaire et cérébrale.

Pourtant, un simple ajustement alimentaire peut suffire à corriger ce déséquilibre sans recourir systématiquement aux compléments.

Cet article clarifie les vraies sources, les rôles et les usages pertinents des oméga-3 — pour savoir quand, pourquoi et comment agir efficacement.

En résumé

  • L’alimentation prime ; la supplémentation (1–2 g/j EPA/DHA) n’est utile que dans des cas précis ou carences avérées.
  • Les oméga-3 (ALA, EPA, DHA) sont des acides gras essentiels clés pour le cerveau, le cœur et l’équilibre inflammatoire.
  • La conversion de l’ALA végétal en EPA/DHA est très faible ; mieux vaut donc viser un bon ratio oméga-6/oméga-3 et consommer de temps en temps des poissons gras.
  • Un Omega-3 Index de 8–12 % reflète un statut optimal ; la majorité des populations restent sous les 5 %.

Comprendre les oméga-3 sans confusion

Famille, formes et rôles

Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés essentiels : le corps humain ne peut pas les fabriquer en quantité suffisante. Ils font partie de ce que l’on appelle souvent les “bonnes” graisses ou bons lipides.

On distingue :

  • ALA (acide α-linolénique, végétal)
  • EPA (acide eicosapentaénoïque)
  • DHA (acide docosahexaénoïque, marins).

Ils jouent un rôle structurel dans :

  • les membranes (composition en acides gras),
  • le fonctionnement cérébral (mémoire, vision, cognition),
  • le système nerveux,
  • la fonction cardiaque,
  • le système cardiovasculaire (tension artérielle, triglycérides).

Le bénéfice potentiel concerne la santé cardiovasculaire, l’équilibre inflammatoire, la vision, la mémoire, certains troubles de l’attention et le développement du cerveau (périodes clés par âge).

Métabolisme des Oméga-3 : de l’alimentation aux organes cibles

Source végétale

ALA

Acide Alpha-Linolénique

🌿 Huile de colza, graines de lin, noix

Conversion métabolique
ALA
EPA
DHA

⚠️ Conversion limitée et variable selon les individus
EPA : conversion modérée | DHA : conversion faible

Organes cibles

  • 🧠 Cerveau
  • ❤️ Cœur
  • 👁️ Rétine
  • 💪 Muscles

Conversion ALA → EPA/DHA : mécanisme et limites

L’acide alpha-linolénique (ALA), présent dans les huiles de lin, colza, noix, chia ou soja, est le précurseur végétal des oméga-3 à longue chaîne EPA et DHA.

Cependant, cette conversion par l’organisme est faible et très variable selon plusieurs facteurs : excès d’acide linoléique (oméga-6) dans l’alimentation moderne, différences génétiques, statut nutritionnel, sexe, âge ou encore habitudes alimentaires.

L’étape limitante de cette conversion est compétitive avec celle des oméga-6 : un apport trop élevé en oméga-6 réduit la transformation de l’ALA en EPA et DHA.

D’où l’importance d’un meilleur équilibre oméga-6/oméga-3, favorable à la santé cardiovasculaire.

Les études récentes montrent des effets bénéfiques modestes : baisse des triglycérides et légère amélioration de la tension artérielle chez certaines personnes. En revanche, aucune preuve solide ne confirme à ce jour une réduction significative du risque global de mortalité ou d’accidents cardiovasculaires majeurs.

Omega-3 Index : quel index viser dans l’organisme ?

L’Omega-3 Index correspond au pourcentage d’EPA et de DHA intégrés dans les membranes des globules rouges. Ce marqueur reflète fidèlement la concentration d’oméga-3 dans les tissus de l’organisme, bien plus stable que les mesures plasmatiques influencées par les apports récents.

Un index compris entre 8 % et 12 % est généralement associé à un risque cardiovasculaire plus faible, tandis qu’un taux inférieur à 4 % indique un statut déficient. La plupart des populations occidentales se situent autour de 3 à 5 %, traduisant un apport insuffisant en EPA et DHA.

Déficient < 4%
Intermédiaire 4-8%
Optimal 8-12%

Statut Déficient

< 4%

Risque cardiovasculaire élevé. Apports insuffisants en EPA et DHA.

Statut Intermédiaire

4-8%

Population occidentale moyenne. Apports à améliorer pour optimiser la santé.

Statut Optimal

8-12%

Protection optimale du cœur et du cerveau. Risque cardiovasculaire réduit.

La plupart des populations occidentales se situent autour de 3 à 5%, traduisant un apport insuffisant en EPA et DHA. Cette situation s’explique par une consommation faible de poissons gras et un ratio déséquilibré entre oméga-6 et oméga-3 dans l’alimentation moderne.

Les études INCA et ANSES indiquent que plus de 90 % des Français présentent un déficit en oméga-3 (EPA + DHA). En pratique, les apports moyens couvrent moins de la moitié des recommandations officielles (environ 0,5 g/jour consommé contre les 1 à 2 g/jour recommandés pour ALA, et 100–150 mg d’EPA + DHA contre 250 mg/jour nécessaires).

Le test, réalisable sur une simple goutte de sang séchée, permet d’évaluer si les apports alimentaires (poissons gras, huile de colza, noix, etc.) couvrent les besoins ou si une supplémentation ciblée (huile de poisson, krill, microalgues pour les végétariens) est justifiée.

Les valeurs de référence varient selon les études épidémiologiques et les recommandations d’experts (Harris, von Schacky, ISSFAL). L’interprétation doit toujours tenir compte du contexte individuel : âge, métabolisme lipidique, pathologies, traitements, ou ratio oméga-6/oméga-3.

Un Omega-3 Index supérieur à 8 %, composé d’environ 40 % d’EPA et 60 % de DHA, correspond aujourd’hui à un statut optimal.

Pour l’atteindre, il faudrait viser en moyenne 500 à 600 mg d’EPA + DHA par jour sur une certaine période de quelques semaines, soit l’équivalent contenu dans 100-150 g de moules, calamars ou huîtres, ou encore 80 g de saumon, thon, sardine, maquereau ou truite.

Dans certains contextes spécifiques — récupération de blessure, baisse de la tension artérielle, inflammation élevée —, un objectif supérieur à 1000 mg/j peut être justifié sous suivi professionnel.

En pratique, répéter la mesure après 3 à 4 mois d’ajustement alimentaire permet de vérifier la réponse biologique et d’atteindre un équilibre optimal entre bénéfices cardiovasculaires, neurologiques et anti-inflammatoires.

Cibler ses besoins (grand public & sportifs)

Chez l’adulte, on distingue les apports (en g/j, en apport quotidien) et le statut (Index).

Les besoins dépendent de nombreux facteurs :

  • l’âge,
  • le régime,
  • le comportement alimentaire (fréquence de poissons gras),
  • le stress physiologique
  • les facteurs personnels (ex. carence en oméga-3, troubles cognitifs particuliers, situations cardiaques liées au risque cardiovasculaire).

Selon les études actuelle, une supplémentation n’est réellement utile que dans des cas particuliers :

  • consommation de poisson faible,
  • régime végétalien,
  • période de haute charge d’entraînement,
  • patient à risque cardiaque ou avec troubles ciblés.

On parle alors de supplémentation en oméga (oméga-3 EPA/DHA).

Avant de penser supplémentation, l’essentiel reste de couvrir ses besoins via l’alimentation. L’assiette doit être la première source d’oméga-3, en cherchant l’équilibre entre acides gras végétaux (ALA) et marins (EPA, DHA).

Bouteilles d'huiles végétales naturelles entourées de noix, soja et avocat, illustrant la nutrition sportive sans additifs de Protéalpes.

ALA (végétal) — instaurer l’équilibre

L’acide alpha-linolénique (ALA) est le point de départ de la chaîne oméga-3. Il se trouve dans les huiles et graines végétales :

  • Huile de colza (usage courant, excellente base pour les vinaigrettes), ajout facile dans un shaker de protéines
  • Huile de lin (à utiliser uniquement à froid)
  • Noix, graines de lin moulues, graines de chia, soja

Objectif pratique : intégrer quotidiennement une source d’ALA, tout en limitant les huiles riches en oméga-6 (tournesol).

Quelle est la meilleure huile végétale pour un apport en omega-3 ?

HuileTeneur moyenne en ALA (oméga-3)Rapport oméga-6 / oméga-3Particularités et usage conseillé
Huile de lin🥇 ≈ 50-55 % d’ALA~ 1 : 0,3 (très riche en oméga-3)Source végétale la plus concentrée. À utiliser exclusivement à froid (assaisonnement). Très sensible à l’oxydation.
Huile de colza≈ 8-10 % d’ALA~ 2 : 1 (excellent équilibre)Idéale pour un usage quotidien. Bonne stabilité à la cuisson douce. Base recommandée pour rééquilibrer le ratio oméga-6/3.
Huile de noix≈ 10 % d’ALA~ 5 : 1 (assez équilibrée)Saveur agréable. À utiliser à froid (vinaigrettes, crudités). Oxydation modérée : à conserver au frais.
Huile d’olive< 1 % d’ALA (très pauvre en oméga-3)~ 10-13 : 1 (déséquilibrée)Faible source d’oméga-3, mais excellente pour la cuisson grâce à sa stabilité thermique et sa richesse en polyphénols.

Astuce : remplacer l’huile de tournesol par colza ou lin à froid, et préférer l’huile d’olive pour la cuisson afin d’éviter l’oxydation des oméga-3.

EPA & DHA (marin) — atteindre la cible

Les EPA (acide eicosapentaénoïque) et DHA (acide docosahexaénoïque) proviennent essentiellement du monde marin.

Sources principales : saumon, maquereau, sardine, hareng, anchois, truite, certains fruits de mer.

Une consommation de 2 portions de poissons gras par semaine permet en général d’atteindre les apports recommandés sur le long terme.

Approche durable et sûre :

Notre impact environnemental est étroitement lié à nos modes de consommation alimentaire. Aussi, nous vous conseillons de porter un attention toute particulière aux produits que vous choisissez concernant les oméga 3. En effet, ces produits sont très souvent liés à la surpêche ou à l’exploitation industrielle du krill sauvage.

  • Choisir des produits issus d’élevages particuliers, biologiques par exemple, ou de pêches certifiées (ex. Friend of the Sea, MSC).
  • Bannir la consommation de produits liés à l’exploitation de krill, ressource clé de la chaîne alimentaire marine.
  • Vérifier la sécurité sanitaire (métaux lourds, dioxines).
Poisson / portionEPA + DHA estimésRemarques
Saumon d’élevage (portion ≈ 85 g / 3 oz)~ 1 000-1200 mgSource “premium” en oméga-3.
Hareng de l’Atlantique ou Pacifique (≈ 85 g)~ 1 000 mg Très bon candidat pour 2 fois/semaine.
Maquereau de l’Atlantique (≈ 85 g)~ 1 000 mgBonne valeur, moins que saumon ou hareng.
Sardines en conserve (≈ 100 g)~ 1 000 mg Option pratique, bon rapport qualité/prix.
Anchois (≈ 85 g)~ 1000 mgPetit poisson gras, riche en oméga-3.
Cabillaud / Morue (poisson maigre, ≈ 85 g)~ 300-400 mg (≈ 0,3-0,4 g) Beaucoup plus faible teneur, ne suffit pas seul à couvrir les apports oméga-3.

Stockage, cuisson et oxydation

Les oméga-3 sont hautement sensibles à la chaleur, à l’air et à la lumière.

  • Conservation : huiles à conserver au frais, dans des bouteilles opaques.
  • Utilisation : éviter la cuisson à haute température (surtout friture).
  • Compléments : vérifier l’indice TOTox (mesure de l’oxydation) communiqué par le fabricant ; un indice < 10 est considéré comme bon signe de qualité.

En résumé, l’assiette bien pensée (variée, riche en huiles végétales équilibrées puis complément de temps en temps en poissons gras) reste la stratégie la plus naturelle et durable pour optimiser son statut en oméga-3 avant toute supplémentation.

Supplémentation en oméga-3: cas d’usage encadrés

Si l’alimentation ne couvre pas les besoins, alors seulement une supplémentation est envisageable sous surveillance d’un diététicien.

La première règle est de toujours opter pour une prise avec un repas (meilleure absorption), pas d’intérêt en post-effort.

L’athlète devra également veiller à choisir un produit de qualité, non lié à la surpêche ou à l’industrie de sous produits de poissons :

  • Forme : gélules, gouttes ; bien lire l’étiquette “EPA et le DHA”, dosage par capsule/gélule.
  • Qualité & sécurité : pureté, métaux lourds, indice TOTox, certification pêche/algues, traçabilité depuis les matières premières jusqu’à l’encapsulation, mise en ligne de rapports qualité (site du fabricant), transparence affichée de la marque.
  • Labels/approches : fournisseurs reconnus, certifications type Friend of the Sea, données sanitaire des aliments.

Pour les végétariens, les huiles d’algues sont une des seules sources disponibles et validée scientifiquement à ce jour pour une supplémentation. Elles sont également très intéressantes pour les personnes non végétariennes recherchant un produit à moindre impact environnemental.

Sécurité & effets secondaires

Aux dosages usuels, la sécurité est bonne mais la vigilance reste de mise : surveiller les effets secondaires digestifs, l’équilibre avec les traitements, et demander conseil aux professionnels (médecin/diététicien).

Concernant les saignements souvent assimilés aux omega-3, aux doses usuelles il n’y a pas d’augmentation nette rapportée.

Ingrédients frais pour une recette saine : poisson, légumes et épices, alignés sur une planche, parfaits pour Protéalpes.

Sport & performance : ce que disent (vraiment) les études

Les omega-3 sont un complément alimentaire de classe B : on parle de preuves scientifiques émergentes et/ou mixtes, méritant d’être prises en considération pour certaines populations ou situations spécifiques. Une surveillance individuelle de l’athlète est recommandée afin d’éclairer l’efficacité perçue et/ou les contre-indications.

Les résultats scientifiques demeurent donc contrastés : les bénéfices semblent dépendre du statut initial en oméga-3, du type d’effort et du dosage utilisé. L’intérêt d’une supplémentation pour le sportif n’est pas forcément justifié.

Récupération, inflammation et douleur

Les essais cliniques montrent que l’EPA et le DHA peuvent :

  • réduire certains marqueurs inflammatoires (CRP, IL-6) après un effort intense,
  • diminuer la perception des courbatures (DOMS),
  • et accélérer la récupération fonctionnelle après des séances excentriques ou des compétitions exigeantes.

Toutefois, les effets restent modestes et variables selon la dose (> 1 g/j souvent nécessaire), la durée (> 3–4 semaines), et le niveau d’entraînement. Chez les athlètes déjà bien alimentés en ALA/DHA/EPA, l’impact additionnel est très limité voire absent.

Pour plus de détails, Protéalpes vous propose ses dossiers :

Immobilisation et masse musculaire

Plusieurs études chez l’humain et l’animal suggèrent que les oméga-3, en particulier l’EPA, pourraient :

  • limiter la perte de masse musculaire lors d’une immobilisation ou d’un arrêt prolongé,
  • favoriser la synthèse protéique en augmentant la sensibilité à l’insuline et aux acides aminés.

Ces résultats sont encourageants, mais proviennent de travaux souvent de petite taille ou à méthodologie hétérogène. Il s’agit donc d’une piste physiologique intéressante, mais non d’une preuve clinique établie.

Cognition, stress et sommeil de l’athlète

L’EPA et le DHA participent au maintien des membranes neuronales et à la régulation des neurotransmetteurs.
Les études observent :

  • une meilleure concentration et vigilance,
  • une légère diminution du stress perçu ou de la fatigue mentale,
  • et, dans certains cas, une amélioration du rythme de sommeil.

Cependant, les effets dépendent fortement du profil du participant (sportif d’endurance, étudiant, militaire…), du dosage et de la durée de supplémentation. Les données restent encore hétérogènes.

Intégration pratique

Pour les sportifs, la priorité reste l’alimentation :

  • 2 à 3 portions de poissons gras par semaine couvrent souvent les besoins de base.
  • En cas de déficit ou de périodes d’entraînement intensif, une supplémentation en EPA/DHA (1 à 2 g/j) peut être envisagée, avec les repas pour une meilleure absorption.
  • Intégrer cette stratégie dans la périodisation nutritionnelle de l’entraînement, et ajuster selon le suivi du statut oméga-3 (Omega-3 Index).

À retenir : les oméga-3 ne sont pas des ergogènes “miracle”, mais un levier de soutien métabolique potentiellement utile dans certains cas spécifiques et rares pour la récupération, la santé musculaire et cognitive. La base reste l’alimentation, qui peut normalement suffire aux besoins des sportifs.

Un article écrit par

Aymeric Mendez & Guillaume Lavastre

Guillaume et Aymeric sont les fondateurs de Protéalpes. Ils sont également des pharmaciens, passionnés de nutrition et de sport.

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