Notre whey protéine est fabriquée dans les Alpes Françaises et elle est unique au monde

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Nous sommes pharmaciens, sportifs et consommateurs réguliers de nos produits. Nous avons conçu et nous fabriquons une whey protéine unique au monde, issue d’un lait de pâturages de Rhône-Alpes (France) sans additifs et sans édulcorants, pour une performance maximale.

Compléments nutritionnels pour tous les sportifs

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Tous nos produits sont conçus par notre équipe de pharmaciens. L’objectif est de fournir des compléments nutritionnels les plus sains et les plus performants pour tous les sportifs et toutes les pratiques. Tous nos produits sont sans additifs et sans édulcorants.

Objectifs

  • Récupération quotidienne
  • Prise de masse
  • Récupération intense
  • Puissance musculaire
  • Apport glucidique
  • Charge glucidique

Endurance

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Protéalpes est une marque de compléments nutritionnels créée par des pharmaciens. Autour d’une whey protéine, unique au monde et emblématique de la marque, tous les produits sont développés en interne avec la même ambition : santé et performance.

Jeune homme souriant, bras levé, avec le texte SANS ADDITIFS SANS ÉDULCORANTS. Nutrition sportive santé sur Protéalpes.

Formules certifiées

Femme sportive buvant, texte Conçu par des pharmaciens. Nutrition sportive Protéalpes, sans édulcorants ni additifs.

Protéalpes : Qui sommes-nous ?

Texte Fabriqué en France sur fond bleu, souligné bleu et rouge, évoquant la qualité française de Protéalpes.

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Texte blanc Normé Antidopage sur fond bleu. Certifie produits Protéalpes sans édulcorants ni additifs, sûrs pour sportifs.

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nutrition

Quelle alimentation mettre en place pour préparer un marathon ?

Coureur en plein effort sur un chemin forestier, symbolisant la nutrition sportive pure et naturelle de Protéalpes.

Que l’objectif soit de finir en moins de 2h30, de battre son record personnel ou simplement de franchir la ligne d’arrivée, une bonne alimentation est toute aussi importante qu’une bonne prépa physique avant de commencer son marathon.

Courir un marathon sollicite énormément le corps humain, avec notamment des besoins énergétiques élevés et un risque important de troubles digestifs et musculaires. Une alimentation bien pensée les semaines précédant l’épreuve permet de limiter ces risques tout en optimisant la forme physique.

Phase de préparation : quelle alimentation ?

L’objectif d’une bonne alimentation va être de fournir suffisamment d’énergie et de nutriments pour soutenir l’effort physique, optimiser la performance et favoriser la récupération pendant toute la phase de préparation jusqu’au jour j.

Un sportif régulier peut dépenser deux à trois fois plus d’énergie qu’une personne sédentaire. Pour savoir quel est l’apport énergétique journalier nécessaire afin de soutenir efficacement sa charge d’entraînement, il faut d’abord comprendre le principe de la balance énergétique. Cette balance indique l’équilibre entre les calories dépensées, via la thermogénèse, et celle consommée via l’alimentation. 

La dépense énergétique possède plusieurs composants.

Dans l’ordre croissant :

– la thermogenèse alimentaire (8 à 15 %)
– la thermogenèse liée aux activités non sportives (15 à 30 %)
– la thermogenèse liée à l’activité physique (15 à 45 %)
– le métabolisme de repos (40 à 70 %).1

L’objectif va être de trouver le juste équilibre énergétique pendant toute la phase de préparation. Une balance négative risque d’entraîner une baisse de performance, une fatigue persistante et d’augmenter le risque de blessure.

A l’inverse, une balance positive risque de faire prendre du poids à l’athlète, ce qui peut impacter les performances. Les besoins énergétique sont propres à chacun et vont dépendre entre autre de l’âge, du sexe et de l’activité physique.

Attention il n’est pas seulement question d’additionner des calories, durant cette période de prépa marathon l’alimentation doit être suffisamment riche et équilibrée pour soutenir l’entraînement intensif.

Une bonne gestion des macronutriments est essentielle pour optimiser ses performances, sa récupération et sa composition corporelle. Les micronutriments, qui ne sont pas directement inclus dans les processus de production d’énergie, participent activement au maintien d’un organisme en bonne santé et sont indispensables dans tout régime alimentaire. Ils doivent être apportés par une alimentation variée et équilibrée, riche en ingrédients bruts et non transformés.

Quels ratios de macronutriments

  • Protéines (1,6 g/kg/jour) : essentielles à la formation des tissus musculaires, anticorps et hormones. Bien que discuté, notamment dans le domaine de la musculation, la consommation pendant la fenêtre métabolique en post-entraînement favorise la récupération musculaire et les adaptations physiologiques. Attention, il est aussi conseillé de répartir ses prises de protéines tout au long de la journée pour une assimilation plus efficace2.

Les protéines végétales ne sont pas exactement équivalentes aux protéines animales : elles sont beaucoup moins riches en acides aminés essentiels et notamment en BCAA. En nutrition “classique”, un conseil pratique consiste à coupler une légumineuse avec une céréale pour couvrir plus efficacement l’ensemble des acides aminés essentiels, nécessaires notamment pour synthétiser les fibres musculaires.

Néanmoins, la meilleurs source naturelle en acides aminés essentiels et en BCAA est la whey protéine, la protéine de lactosérum (plus encore que le saumon ou l’oeuf, pour un même grammage de protéines pures). C’est pour cette raison qu’il s’agit de la protéine de référence en nutrition sportive.

  • Glucides (5-6 g/kg/jour) : principale source d’énergie cellulaire, les glucides sont stockés sous forme de glycogène musculaire et hépatique en quantité limitée. La performance en course dépend directement de leur disponibilité : avant l’effort, les glucides permettent de maximiser les réserves en glycogène ; pendant l’exercice, ils aident à préserver ses réserves  pour avoir l’énergie suffisante ; après l’effort, ils favorisent la récupération et la reconstitution des stocks. En moyenne les stocks s’épuisent après 1h30 d’effort à intensité moyenne. Les féculents (pâtes, riz, pomme de terre) constituent souvent la base de l’apport glucidique, mais il peut être intéressant de varier idéalement avec du quinoa ou des légumineuses. L’intérêt de consommer des glucides complexes lentement digérés, et qu’ils permettent une libération lente de l’énergie pendant plusieurs heures post-repas.

Après un effort d’endurance, en réponse à une glycémie basse, le corps risque d’utiliser les acides aminés musculaires pour synthétiser du glucose. Un shaker glucides+whey en post-effort d’endurance permet de refaire les stocks de glycogène et de préserver le tissu musculaire de l’athlète. Les protéines n’induisent pas de prise de masse directe, elles optimisent les effets physiologiques des entraînements. Leur utilisation dans un cadre d’exercices d’endurance n’induit pas de prise de muscle.

Whey protéine

Gamme classique – récupération optimale

  • Équivalent sucre d’une demi-pomme
  • Sucre complet, non raffiné et bio
  • Minimum de glucides pour compléter les protéines

Disponible en packs de 3 à 4,5 kg

  • Lipides (1-1,5 g/kg/jour) : ils fournissent deux fois plus d’énergie que les glucides (9 kcal/g contre 4 kcal/g) mais sont indispensables pour maintenir son corps en bonne santé. Ils constituent notamment la principale source d’énergie pour les efforts de longue durée à intensité modérée. La distinction entre les différents acides gras est importante d’un point de vue santé globale. Les acides gras saturés (graisse animale, beurre, huile de palme) sont à consommer en quantité modérée car ils augmentent les risques cardiovasculaires. En revanche, les acides gras insaturés, notamment les oméga-3 et oméga-6, sont des gras essentiels indispensables au bon fonctionnement de l’organisme.

Pour un apport optimal en oméga-3, l’huile de colza représente une solution naturelle, économique et éco-responsable. Les compléments alimentaires d’oméga 3 sont souvent issus de la pêche au krill intensive, désastreuse pour les écosystèmes marins. Le recours à une supplémentation n’est pas toujours nécéssaire.

Et les micronutriments ?

Les micronutriments (vitamines et minéraux) participent à la majorité des processus métaboliques dans notre organisme. Ils interviennent dans la production d’énergie, la synthèse protéique, le soutien immunitaire et la protection contre le stress oxydatif généré pendant l’effort.

Un coureur d’endurance présente des besoins importants en micronutriments en raison d’un métabolisme plus actif et des pertes importantes via la transpiration, particulièrement lors des séances d’entraînement intensives. Le magnésium et le potassium, notamment, sont essentiels pour prévenir les crampes et maintenir la fonction musculaire optimale.

Une alimentation quotidienne riche et variée en fruits et légumes frais constitue la meilleure approche pour garantir un apport suffisant en micronutriments. La carence en fer peut entraîner une fatigue importante. Les viandes rouges (de temps en temps), lentilles et épinards sont des sources à privilégier pour les coureurs.

Une bonne pratique pendant cette phase de préparation marathon et de tester son alimentation sur une sortie longue dans les conditions de l’effort du jour j : allure marathon, stress lié à la compétition. 

La whey et la course à pied ?

La whey protein est souvent associée à la prise de masse musculaire, mais le rôle de la whey en course à pied va être différent. La whey permet d’assurer un apport suffisant en protéines tout en contrôlant son apport calorique total, ce qui peut aider le marathonien à améliorer son rapport masse grasse/masse maigre et par la même occasion sa performance pour le marathon.

  • La whey est issue du lactosérum de lait, filtrée mécaniquement, ce qui la rend naturellement riche en protéines avec une biodisponibilité élevée. Elle est rapidement assimilée par l’organisme, ce qui en fait un choix intéressant pour une supplémentation post-entraînement. Lorsqu’il s’agit d’un isolat, le lactose est retiré sur le filtre et la poudre est donc facilement digestible, même pour les intolérants au lactose.
  • Lors de la course à pied, les fibres musculaires sont soumises à des micro-lésions. La whey apporte les acides aminés nécessaires pour réparer ces lésions, renforçant ainsi les muscles et réduisant le risque de blessures post-entraînement.

La whey favorise l’adaptation physiologique à la course à pied et réduit les blessures post-entraînement. Lorsqu’elle est couplée à une source de glucides, elle est idéale en post effort d’endurance pour optimiser les effets bénéfiques de l’entraînement et la performance saine au long terme.

Quelle alimentation à l’approche du marathon ?

Les derniers jours avant la compétition sont déterminants : l’objectif est de saturer les réserves de glycogène pour assurer une performance optimale. La stratégie nutritionnelle pendant cette période peut varier.

Dans leur “Préparation nutritionnelle du marathonien” Le marathon de Paris recommande le Régime Dissocié Scandinave Adapté (RDSA), qui consiste à privilégier les graisses et protéines durant 3 jours (J-6 à J-4), puis à maximiser l’apport en glucides les 3 jours précédant la course. L’objectif est de vider puis surcharger les stocks de glycogène musculaire et hépatique, c’est ce qu’on appelle aussi “le rebond glucidique“.

Toutefois, cette approche peut provoquer des troubles digestifs et une fatigue musculaire difficiles à gérer pour certains coureurs. Nous ne la recommandons pas spécialement. Nous préférons une approche plus simple et tout aussi efficace : sans les réduire spécifiquement au préalable, il est conseillé d’augmenter fortement l’apport en glucides sur les 48 heures précédant la course : en passant par exemple à 8-9 g/kg/jour afin de saturer ses stocks de glycogène. Les aliments à index glycémique bas comme les flocons d’avoines sont à privilégier là aussi.

La maltodextrine de manioc bio peut compléter cet apport glucidique tout en évitant les troubles digestifs fréquents avec une alimentation solide trop importante. Elle permet une décharge lissée de glucides et un meilleur confort digestif.

Pendant cette semaine, évitez les aliments riches en fibres, les produits trop gras et les aliments transformés qui pourraient perturber le système digestif. Préférez les aliments familiers, déjà testés.

Que manger et boire pendant le jour du marathon ?

Hydratation le  jour J  

  • 2h avant : consommer 250 ml d’eau par heure avant le départ. Une boisson faiblement glucosée pourra être adaptée afin de lutter contre le stress (consommateur d’énergie).
  • Fréquence et quantité : il est recommandé de s’hydrater toutes les 20 à 25 minutes. Prenez 3 à 4 gorgées d’eau, soit environ 150 à 200 ml, pour maintenir un niveau d’hydratation optimal. Cela équivaut à un petit gobelet ou la moitié d’une petite bouteille. (n’attendez pas d’avoir soif pour boire !)
  • Réserve d’eau : si votre objectif dépasse les 4 heures, il est conseillé de courir avec une réserve d’eau personnelle, comme une gourde ou une flasque, car les ravitaillements en eau sur le parcours peuvent être trop espacés.

Alimentation le jour J

  • Fréquence et type d’aliments : consommez un aliment glucidique toutes les 40 à 50 minutes pour maintenir vos réserves énergétiques. En général, suivant les profils et les niveaux, les athlètes consomment entre 50 et 90 g de glucides / heure d’effort pour maintenir la performance. Les aliments liquides ou compacts, comme les gels énergétiques ou les boissons isotoniques, sont préférables car ils sont plus faciles à digérer et à transporter.
  • Aliments solides : les fruits secs, le pain d’épice, les bananes ou les oranges peuvent être consommés au ravitaillement, mais assurez-vous de bien les mâcher et de les tester avant le jour J pour éviter les problèmes digestifs.

Que manger après le marathon?

Dans les quelques après le marathon, le corps bénéficie d’une fenêtre métabolique idéale pour la récupération. Après l’effort, il est conseillé de compenser les pertes liées à la transpiration en s’hydratant régulièrement et de reconstituer ses réserves énergétiques en consommant des glucides et des protéines rapidement assimilables pour favoriser la récupération musculaire.

Les nutriments consommés durant cette période seront plus efficacement absorbés et utilisés par le corps. Les pertes hydrosodées (électrolytes + eau) seront naturellement comblées dans le cas d’une alimentation variée et équilibrée.

En ce qui concerne les techniques de récupération après l’effort, les dernières études affirment qu’un bon massage a de nombreux avantages et soulage efficacement les courbatures contrairement aux étirements post effort qui pourraient même ralentir le processus de récupération.

1International society of sports nutrition position stand: Diets and body composition. par
2Dietary protein intake and distribution patterns of well-trained Dutch athletes. par

Un article écrit par

Aymeric Mendez & Guillaume Lavastre

Guillaume et Aymeric sont les fondateurs de Protéalpes. Ils sont également des pharmaciens, passionnés de nutrition et de sport.

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De nombreux clubs et athlètes dans toutes les disciplines utilisent nos produits.

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