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Nous sommes pharmaciens, sportifs et consommateurs réguliers de nos produits. Nous avons conçu et nous fabriquons une whey protéine unique au monde, issue d’un lait de pâturages de Rhône-Alpes (France) sans additifs et sans édulcorants, pour une performance maximale.

Compléments nutritionnels pour tous les sportifs

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Tous nos produits sont conçus par notre équipe de pharmaciens. L’objectif est de fournir des compléments nutritionnels les plus sains et les plus performants pour tous les sportifs et toutes les pratiques. Tous nos produits sont sans additifs et sans édulcorants.

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  • Récupération quotidienne
  • Prise de masse
  • Récupération intense
  • Puissance musculaire
  • Apport glucidique
  • Charge glucidique

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Protéalpes est une marque de compléments nutritionnels créée par des pharmaciens. Autour d’une whey protéine, unique au monde et emblématique de la marque, tous les produits sont développés en interne avec la même ambition : santé et performance.

Athlète heureux célébrant la qualité des produits Protéalpes, sans additifs ni édulcorants, pour une nutrition sportive pure.

Formules certifiées

Athlète buvant un complément naturel, conçu par des pharmaciens, sans édulcorants ni additifs pour Protéalpes.

Protéalpes : Qui sommes-nous ?

Texte Fabriqué en France sur fond bleu, symbolisant la qualité locale des produits sportifs Protéalpes, sans édulcorants.

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Texte Normé Antidopage sur fond bleu, reflétant l'engagement de Protéalpes à offrir des produits sportifs sûrs et naturels.

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Etes-vous en surentraînement ?

Mise à jour le 8 octobre 2025 (il y a 1 jour) par l’équipe de pharmaciens Protéalpes

Athlète allongé, repos après l'effort, symbolisant la récupération naturelle avec Protéalpes, nutrition sans additifs.

Le surentraînement : comprendre, détecter et prévenir le syndrome chez le sportif

Le syndrome de surentraînement représente l’une des principales menaces pour tout sportif, amateur ou professionnel. 

Cette condition résulte d’un déséquilibre entre l’entraînement intensif et une récupération insuffisante, menant à une baisse significative des performances et à des conséquences physiques et psychologiques importantes.

Questionnaire de prévention du surentraînement

Évaluation du stress, de l’humeur et de la variabilité psychique – 12 questions pour un premier diagnostic

Section 1 sur 4 – État Physique et Fatigue

État Physique et Fatigue

1. Comment évaluez-vous votre niveau de fatigue général ?
Très reposé Épuisé
2. Qualité de votre sommeil cette dernière semaine ?
Excellent Très mauvais
3. Douleurs musculaires et articulaires ?
Aucune Très importantes

État Psychologique et Humeur

4. Votre humeur générale cette semaine ?
Excellente Très mauvaise
5. Niveau d’irritabilité et d’anxiété ?
Très calme Très irritable
6. Motivation pour l’entraînement ?
Très motivé Pas motivé du tout

Performance et Récupération

7. Évolution de vos performances sportives ?
En amélioration En régression
8. Capacité de récupération entre les séances ?
Excellente Très lente
9. Fréquence cardiaque au repos (perception) ?
Normale Élevée

Stress et Équilibre de Vie

10. Niveau de stress dans votre vie quotidienne ?
Très faible Très élevé
11. Équilibre entre entraînement et vie sociale ?
Parfait équilibre Déséquilibre total
12. Concentration et capacité de focus ?
Excellente Très difficile

Résultats de votre évaluation

Score Total /60
État Physique /15
État Psychologique /15
Performance /15
Stress /15

Interprétation

Recommandations

Profil de votre état de forme

Qu’est-ce que le surentraînement ?

Le surentraînement, également appelé “overtraining syndrome”, désigne un état de fatigue chronique provoqué par un excès d’entraînement sportif. Ce phénomène dépasse largement une simple fatigue passagère et se caractérise par l’incapacité du corps à récupérer malgré des périodes de repos.

La définition médicale précise que le surentraînement survient lorsque l’équilibre entre la charge d’entraînement et la capacité de récupération de l’organisme est rompu. Les muscles, hyper sollicités, ne parviennent plus à refaire le plein d’énergie et à se régénérer correctement.

Cette condition touche tous types de sportifs, du coureur amateur préparant son premier marathon au sportif de haut niveau visant les jeux olympiques. Les sports d’endurance comme la course à pied, le cyclisme ou la natation sont particulièrement concernés, nécessitant des volumes d’entraînement importants et une préparation physique intensive.

Le processus de surentraînement s’installe de manière insidieuse sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Contrairement à une fatigue normale d’entraînement qui disparaît avec le repos, la fatigue persistante du surentraînement perdure même après une période de récupération prolongée.

Les dossiers suivants permettent d’approfondir ces aspects :

Athlète assise dans une salle de sport avec Whey Protéalpes, sans édulcorants ni additifs, pour une nutrition sportive pure.

Symptômes et signes de surentraînement

Manifestations physiques

Les symptômes physiques du surentraînement sont multiples et variés. La baisse de performance constitue le signe le plus évident : 

  1. l’athlète constate une diminution inexpliquée de ses capacités, 
  2. une stagnation de sa fréquence cardiaque durant l’entraînement, 
  3. une augmentation de sa fréquence cardiaque au repos.

Les douleurs musculaires et articulaires deviennent persistantes, dépassant les 72 heures après l’effort. Le système immunitaire s’affaiblit, rendant le sportif plus susceptible aux infections virales comme l’angine ou la grippe. 

Les troubles du sommeil se manifestent par des difficultés d’endormissement et un sommeil agité, malgré la fatigue physique.

L’augmentation des blessures représente un signal d’alarme majeur. Les claquages, entorses et fractures de fatigue deviennent plus fréquents, témoignant de l’épuisement du système musculaire et articulaire. La perte d’appétit et l’amaigrissement peuvent également accompagner cet état.

Conséquences psychologiques

Le surentraînement affecte profondément l’état psychologique du sportif. 

L’irritabilité et l’instabilité émotionnelle deviennent courantes, accompagnées d’une baisse de l’estime de soi liée au sentiment d’impuissance face aux mauvaises performances.

La perte de motivation pour l’entraînement et la compétition constitue un symptôme caractéristique. Le sportif peut développer une véritable aversion pour son sport, perdant le plaisir qui l’animait initialement. Cette dévalorisation de la pratique sportive s’accompagne souvent d’un sentiment de moindre accomplissement.

Dans les cas les plus sévères, le surentraînement peut conduire à un état dépressif. Les troubles de l’humeur, les difficultés de concentration et le sentiment d’isolement sont fréquents. Certains sportifs développent même une addiction au sport (bigorexie ou sportoolisme), ne parvenant plus à s’arrêter malgré les signaux d’alarme de leur corps.

Troubles hormonaux et biologiques

Le surentraînement provoque des déséquilibres hormonaux significatifs. Chez l’homme, on observe une diminution du ratio testostérone/cortisol, tandis que chez la femme, des troubles du cycle menstruel peuvent apparaître. L’augmentation du cortisol, hormone du stress, traduit l’état d’hypervigilance de l’organisme.

Les examens biologiques révèlent souvent une anémie d’installation progressive et une diminution de la masse maigre. Les cytokines pro-inflammatoires, messagers de l’immunité, sont libérées en excès, expliquant la fatigue généralisée et les douleurs persistantes.

Tableau récapitulatif des manifestations physiques, psychologiques et biologiques

CatégorieSymptômesDescription détaillée
Manifestations physiquesBaisse de performance• Diminution inexpliquée des capacités
• Stagnation de la fréquence cardiaque durant l’entraînement
• Augmentation de la fréquence cardiaque au repos
Douleurs persistantesDouleurs musculaires et articulaires dépassant 72h après l’effort
Système immunitaire affaibliSusceptibilité accrue aux infections virales (angine, grippe)
Troubles du sommeilDifficultés d’endormissement et sommeil agité malgré la fatigue
Augmentation des blessuresSignal d’alarme majeur :
• Claquages plus fréquents
• Entorses répétées
• Fractures de fatigue
• Épuisement du système musculaire et articulaire
Perte d’appétitDiminution de l’appétit pouvant conduire à un amaigrissement
Fatigue chroniqueÉpuisement persistant non résolu par le repos habituel
Récupération altéréeIncapacité à récupérer normalement entre les séances
Conséquences psychologiquesIrritabilité et instabilitéChangements d’humeur fréquents, émotions à fleur de peau
Baisse de l’estime de soiSentiment d’impuissance face aux mauvaises performances
Perte de motivationSymptôme caractéristique :
• Aversion pour l’entraînement et la compétition
• Perte du plaisir initial
• Dévalorisation de la pratique sportive
Sentiment de moindre accomplissementImpression que les résultats ne correspondent pas aux efforts fournis
État dépressif (cas sévères)• Troubles de l’humeur persistants
• Difficultés de concentration
• Sentiment d’isolement
Addiction au sport (bigorexie)Sportoolisme : Incapacité à s’arrêter malgré les signaux d’alarme du corps
Troubles hormonaux et biologiquesDéséquilibres hormonaux (hommes)Diminution du ratio testostérone/cortisol
Troubles menstruels (femmes)Perturbations du cycle menstruel, aménorrhée possible
Augmentation du cortisolÉlévation de l’hormone du stress traduisant l’hypervigilance
Anémie progressiveDiminution des globules rouges et de la masse maigre
Inflammation systémiqueLibération excessive de cytokines pro-inflammatoires expliquant :
• La fatigue généralisée
• Les douleurs persistantes

Causes du syndrome de surentraînement

Facteurs liés à l’entraînement

Le volume d’entraînement excessif constitue la cause principale du surentraînement. Une augmentation trop rapide de l’intensité ou de la fréquence des séances, sans adaptation progressive, surcharge l’organisme au-delà de ses capacités d’adaptation.

La récupération insuffisante représente l’autre facteur déterminant. Les temps de repos entre les séances, essentiels pour la régénération des fibres musculaires et la reconstitution des réserves énergétiques, sont souvent négligés ou insuffisants.

La monotonie des entraînements peut également contribuer au surentraînement. Un programme répétitif, sans variété ni périodisation adaptée, empêche l’organisme de s’adapter correctement aux charges de travail imposées.

Pour les connaisseurs, les liens avec la quantification du stress mécanique doivent maintenant être évident. Cette vidéo de la Clinique du coureur explique ce concept en détails.

En bref :

  • Une augmentation trop rapide de l’intensité ou de la fréquence des séances surcharge l’organisme au-delà de ses capacités d’adaptation
  • L’absence de périodisation et la monotonie des entraînements empêchent l’organisme de s’adapter correctement aux charges de travail

Sur ce sujet, le dossier sur le temps de récupération après effort et nos 15 conseils pour une récupération musculaire rapide sont aussi complets qu’utiles.

Facteurs environnementaux et personnels

Le stress psychologique inhabituel, qu’il soit professionnel, personnel ou familial, amplifie les risques de surentraînement. L’organisme peine à gérer simultanément les contraintes d’entraînement et les tensions extérieures.

Une alimentation déséquilibrée ou un déficit énergétique relatif compromet la récupération. Les carences nutritionnelles, notamment en fer, vitamines et glucides, limitent la capacité de l’organisme à réparer les tissus endommagés et à reconstituer ses réserves.

Le cercle vicieux nutritionnel du surentraînement s’installe selon un processus bien documenté :

  1. L’épuisement des réserves de glycogène musculaire déclenche la libération de cytokines pro-inflammatoires, créant un état d’inflammation chronique.
  2. Cette inflammation détourne les acides aminés essentiels (tryptophane, tyrosine) de leur fonction première, réduisant la production de sérotonine et de dopamine – neurotransmetteurs cruciaux pour le bien-être et la motivation.
  3. Parallèlement, le déséquilibre entre oméga-6 pro-inflammatoires et oméga-3 anti-inflammatoires amplifie et pérennise cet état pathologique.

Les 4 piliers nutritionnels de prévention du surentraînement

PilierObjectifDosage recommandéSources alimentairesTiming/Conseils
Anti-inflammatoireRééquilibrer oméga-6/oméga-3Ratio 4:1 à 2:1• Poissons gras 2-3x/sem
• Huile colza/noix 2-3 c.s./j
• Graines de lin moulées
• Noix 5-6 unités/j
Limiter huiles tournesol, maïs, charcuterie
ÉnergétiqueMaintenir glycogène musculaire5-7g glucides/kg/jour• Céréales complètes
• Légumineuses
• Fruits 2-3 portions/j
• Patate douce, betterave
Crucial dans les 2h post-entraînement
AntioxydantNeutraliser radicaux libres≥5 portions fruits/légumes/j• Baies colorées
• Légumes verts/colorés
• Curcuma, gingembre
• Germe de blé
Variété de couleurs = variété d’antioxydants
HydratationÉliminer toxines1,5-2L eau/jour + électrolytes• Eau pure
• Boissons d’effort
• Aliments riches en eau
• Sodium, potassium, Mg
Urine claire = hydratation OK

Signaux d’alarme nutritionnels :

– Fatigue persistante + perte d’appétit + sensation de “mur” = épuisement du glycogène

– Douleurs musculaires > 72h = inflammation excessive

– Infections répétées = déficit antioxydant/oméga-3

Les facteurs environnementaux comme les conditions climatiques extrêmes (canicule, hiver rude), les changements de fuseau horaire ou l’altitude peuvent également contribuer au développement du syndrome.

Enfin chez les jeunes athlètes, la pression de l’entourage familial ou de l’entraîneur peut pousser à dépasser ses limites. Cette pression externe, combinée à un perfectionnisme excessif, augmente considérablement les risques de surentraînement.

CatégorieFacteurs de RisqueDescription et Impact
Facteurs liés à l’entraînementVolume d’entraînement excessif 

RISQUE MAJEUR
Cause principale du surentraînement :
Augmentation trop rapide de l’intensité

Fréquence des séances sans adaptation progressive

Surcharge de l’organisme au-delà de ses capacités d’adaptation
Récupération insuffisante 

FACTEUR DÉTERMINANT
Temps de repos négligés ou insuffisants :
Régénération des fibres musculaires compromise

Reconstitution des réserves énergétiques incomplète

Déséquilibre effort/récupération
Monotonie des entraînements 

RISQUE MODÉRÉ
Programme répétitif et inadapté :
Absence de variété dans les exercices

Périodisation inadéquate

Adaptation insuffisante aux charges de travail
Facteurs environnementaux et personnelsStress psychologique 

AMPLIFICATEUR
Tensions multiples :
Stress professionnel, personnel ou familial

Gestion simultanée contraintes d’entraînement + tensions extérieures

Surcharge cognitive et émotionnelle
Alimentation déséquilibrée 

RÉCUPÉRATION COMPROMISE
Déficit énergétique relatif :
Carences en fer, vitamines et glucides

Réparation des tissus endommagés limitée

Reconstitution des réserves insuffisante
Conditions climatiques extrêmes 

STRESS ADDITIONNEL
Facteurs environnementaux :
Canicule ou hiver rude

Changements de fuseau horaire

Adaptation à l’altitude
Pression de l’entourage 

JEUNES ATHLÈTES
Spécifique aux jeunes sportifs :
Pression familiale excessive

Attentes de l’entraîneur

Dépassement des limites personnelles
Perfectionnisme excessif 

FACTEUR AGGRAVANT
Trait de personnalité à risque :
Combinaison pression externe + interne

Incapacité à accepter les limites

Recherche constante de dépassement

Diagnostic et dépistage

Outils d’évaluation

Le diagnostic du surentraînement reste complexe car il n’existe pas de marqueur biologique spécifique. La société française de médecine de l’exercice et du sport (SFMES) a développé un questionnaire de dépistage permettant d’évaluer les risques chez le sportif.

Ce questionnaire évalue différents paramètres : l’état de fatigue, les troubles du sommeil, les variations d’humeur, les douleurs persistantes et la baisse de motivation. L’american college of sports medicine recommande également l’utilisation de ces outils de dépistage dans le suivi des sportifs de haut niveau.

Questionnaire SFMES – Dépistage du Surentraînement

Société Française de Médecine de l’Exercice et du Sport

Instructions : Répondez par OUI ou NON à chaque question en pensant au mois qui vient de s’écouler.

Question 0 sur 54 complétées
1. Mon niveau de performance sportive/mon état de forme a diminué
2. Je ne soutiens pas autant mon attention
3. Mes proches estiment que mon comportement a changé
4. J'ai une sensation de poids sur la poitrine
5. J'ai une sensation de palpitation
6. J'ai une sensation de gorge serrée
7. J'ai moins d'appétit qu'avant
8. Je mange davantage
9. Je dors moins bien
10. Je somnole et baille dans la journée
11. Les séances me paraissent trop rapprochées
12. Mon désir sexuel a diminué
13. Je fais des contre-performances
14. Je m'enrhume fréquemment
15. J'ai des problèmes de mémoire
16. Je grossis
17. Je me sens souvent fatigué
18. Je me sens en état d'infériorité
19. J'ai des crampes, douleurs musculaires fréquentes
20. J'ai plus souvent mal à la tête
21. Je manque d'entrain
22. J'ai parfois des malaises ou des étourdissements
23. Je me confie moins facilement
24. Je suis souvent patraque
25. J'ai plus souvent mal à la gorge
26. Je me sens nerveux, tendu, inquiet
27. Je supporte moins bien mon entraînement
28. Mon coeur bat plus vite qu'avant au repos
29. Mon coeur bat plus vite qu'avant à l'effort
30. Je suis souvent mal fichu
31. Je me fatigue plus facilement
32. J'ai souvent des troubles digestifs
33. J'ai envie de rester au lit
34. J'ai moins confiance en moi
35. Je me blesse facilement
36. J'ai plus de mal à rassembler mes idées
37. J'ai plus de mal à me concentrer dans mon activité sportive
38. Mes gestes sportifs sont moins précis, moins habiles
39. J'ai perdu de la force, du punch
40. J'ai l'impression de n'avoir personne de proche à qui parler
41. Je dors plus
42. Je tousse plus souvent
43. Je prends moins de plaisir à mon activité sportive
44. Je prends moins de plaisir à mes loisirs
45. Je m'irrite plus facilement
46. J'ai une baisse de rendement dans mon activité scolaire ou professionnelle
47. Mon entourage trouve que je deviens moins agréable à vivre
48. Les séances sportives me paraissent trop difficiles
49. C'est ma faute si je réussis moins bien
50. J'ai les jambes lourdes
51. J'égare plus facilement les objets (clefs, etc.)
52. Je suis pessimiste, j'ai des idées noires
53. Je maigris
54. Je me sens moins motivé, j'ai moins de volonté, moins de ténacité
Résultats SFMES
0
Nombre de réponses « Oui » sur 54

Recommandations

    Examens complémentaires

    Les analyses biologiques permettent d’exclure d’autres causes de fatigue chronique. Un bilan sanguin complet incluant la numération formule sanguine, la ferritine, la créatinine et les marqueurs inflammatoires aide à éliminer une anémie, une carence en fer ou une infection.

    Le dosage hormonal peut révéler les déséquilibres caractéristiques du surentraînement. La mesure du cortisol salivaire et des hormones sexuelles apporte des informations qui peuvent aiguiller le médecin sur l’état de stress de l’organisme.

    Enfin l’évaluation de la variabilité de la fréquence cardiaque au repos constitue un outil de plus en plus utilisé pour détecter précocement les signes de fatigue excessive. Cette mesure, réalisable quotidiennement par le sportif, permet un suivi personnalisé.

    Coureur en plein effort recevant un encouragement, symbolisant l'énergie pure et naturelle des produits Protéalpes.

    Prévention et récupération

    La prévention du surentraînement repose sur une approche globale et personnalisée. La périodisation de l’entraînement constitue la base de cette prévention, alternant phases de charge et phases de récupération selon des cycles bien définis.

    L’écoute du corps et la reconnaissance des premiers signes de fatigue sont essentielles. Le sportif doit apprendre à différencier la fatigue normale d’entraînement de la fatigue persistante qui peut signaler un début de surentraînement.

    Le suivi médical régulier permet de détecter précocement les déséquilibres. Les bilans sport santé, incluant l’évaluation de l’état général, des performances et des paramètres biologiques, doivent être réalisés systématiquement.

    Une alimentation équilibrée et adaptée aux besoins énergétiques est cruciale. L’apport en glucides doit couvrir les besoins de reconstitution du glycogène musculaire, tandis que les protéines favorisent la réparation tissulaire.

    Prise en charge du surentraînement

    Lorsque le diagnostic de surentraînement est posé, la prise en charge doit être immédiate et radicale. Le repos constitue le traitement de choix, avec un arrêt temporaire de l’entraînement intensif ou une réduction drastique des charges.

    La durée de récupération varie selon la sévérité du syndrome, pouvant s’étaler de quelques semaines à plusieurs mois. On considère généralement que le temps nécessaire pour revenir au meilleur niveau équivaut au temps pendant lequel le sportif a évolué en état de surentraînement.

    L’accompagnement psychologique s’avère souvent nécessaire pour aider le sportif à accepter cette période d’inactivité forcée et à retrouver sa motivation. Le soutien de l’entourage familial et sportif joue un rôle crucial dans cette phase de récupération.

    Une alimentation saine, riche en antioxydants et en oméga-3, favorise les processus de réparation. L’hydratation et un sommeil de qualité complètent cette approche thérapeutique globale.

    Whey protéine au sucre de canne complet

    Formule développée par des pharmaciens diplômés 🔬

    • Fabriqué en interne par Protéalpes
    • Sans additifs, sans édulcorants
    • Isolat de protéines origine Rhône-Alpes

    Aussi disponible en packs de 3 à 4,5 kg

    Protéalpes Whey Protéine goût fraise: sans additifs ni édulcorants, pour une récupération musculaire optimale.

    Reprise progressive

    La reprise de l’entraînement doit être extrêmement progressive et étroitement surveillée. Il convient de refaire le plein d’énergie avant d’envisager toute activité intense. Les premières séances privilégient la récupération active et les exercices de faible intensité.

    L’objectif n’est pas de rattraper rapidement le temps perdu, mais de retrouver progressivement le plaisir de la pratique sportive. Cette approche patient-centrée permet d’éviter les rechutes et de construire des bases solides pour l’avenir.

    Le rôle de l’entraîneur est majeur dans cette phase de reprise. Il doit adapter son programme en fonction de l’évolution du sportif et maintenir une communication ouverte pour détecter tout signe de récidive.

    En résumé

    • Le surentraînement résulte d’un déséquilibre entre effort et récupération
    • Il touche tous les niveaux de pratique sportive, pas seulement les sportifs de haut niveau
    • Les symptômes sont multiples : baisse de performance, fatigue chronique, troubles de l’humeur
    • La prévention passe par une approche globale incluant entraînement, nutrition et récupération
    • La prise en charge nécessite un repos forcé et un accompagnement médical spécialisé

    Un article écrit par

    Aymeric Mendez & Guillaume Lavastre

    Guillaume et Aymeric sont les fondateurs de Protéalpes. Ils sont également des pharmaciens, passionnés de nutrition et de sport.

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