Notre whey est-elle bio ?

Altitude Whey Protéine de Protéalpes est une whey particulière, issue d’un lait de pâturages alpins, et formulée sans additifs ni édulcorants

Sans vouloir vous spoiler la fin, non, notre whey n’est pas certifiée biologique (pour l’instant du moins), mais est certifiée ECOCERT, car la plupart de nos ingrédients sont certifiés bio. Dans cet article, on va vous expliquer pourquoi, et quelles sont les particularités qui rendent cette whey made in France si unique !

Qu’est-ce que la whey ?

La whey (protéines de lactosérum en français) est issue du lait (tout comme la caséine que nous traitons ici). C’est une fraction du lait (le petit lait), qui est récupérée, le plus souvent lors de la fabrication du fromage, qui est mécaniquement filtrée, puis déshydratée. Le lactosérum est, à ce jour, la source de protéines la plus complète et la plus riche en acides aminés essentiels (EAA) et en BCAA, les acides aminés les plus impliqués dans la réparation des fibres musculaires.

La whey, qui est donc un complément alimentaire, est utilisée principalement par les sportifs pour ses vertus de récupération musculaire en post-entraînement, via une action des acides aminés sur les fibres musculaires squelettiques. Les protéines n’entraînent pas directement une prise de masse musculaire, mais optimisent les entraînements physiques, que ce soit en sport d’endurance ou de force, via une récupération musculaire optimale. 

Les séances d’entraînement restent au cœur de la progression. En effets si la whey a plusieurs bienfaits, progresser sans effort n’en est pas un. En effet, l’effort physique amorce le processus et permet le catabolisme et l’anabolisme musculaires. Ensuite, la haute biodisponibilité de la whey permet de fournir au corps les acides aminés essentiels rapidement, et de reformer des fibres musculaires plus résistantes et adaptées à l’entraînement.

D’où provient le lait dont sont issues les protéines ?

Le lait dont est issue notre whey n’est pas certifié bio, et donc notre whey ne peut naturellement pas être certifiée bio non plus. Cependant, nous avons privilégié un lait local, de pâturages de Rhône-Alpes, plutôt que des laits bio, souvent d’origine autrichienne, et rassemblés dans de grandes centrales européennes avant d’être filtrés sur de grosses exploitations, gérées par des groupes laitiers internationaux. 

Il s’agit donc pour nous d’un lait de pâturages de montagnes, répondant à un cahier des charges très strict, notamment en matière d’alimentation. L’alimentation des animaux provient essentiellement de l’aire géographique autour de la ferme. La complémentation en aliments autres que de l’herbe ou du foin est exceptionnelle et limitée (céréales, son, graines…) et les OGM sont interdits. 

De ce fait, les volumes de production sont plus réduits, mais il y a, en contrepartie, une autosuffisance de l’aire géographique, sans besoin, par exemple, de soja brésilien, qui est en lien avec la déforestation en Amazonie.

Quelles différences avec un lait classique ?

Nous considérons notre lait comme une véritable richesse. Nous sommes persuadés que les protéines contenues dans la whey sont directement liées à la qualité du lait dont elles sont issues. 

Les troupeaux paissent librement dans les pâturages alpins, parfois jusqu’à 2500m d’altitude, où le lait est récolté à l’aide d’équipements de traite mobiles.

Les races utilisées sont, elles aussi, uniques. Il s’agit de races locales, essentiellement tarines et abondances. Ces vaches, contrairement aux races laitières classiques à hauts rendements, produisent moins de lait, mais sont plus résistantes, et sont surtout adaptées aux climats rudes et aux pentes montagnardes. La production laitière par animal et par an est réglementairement limitée. C’est dans cette démarche de qualité et de valorisation locale, opposée à la quantité et aux gros rendements, que Protéalpes s’est engagé. 

Dans un modèle comme celui-ci, on évite au maximum que l’élevage prive les êtres humains de terres agricoles qui doivent être cultivées en priorité pour faire pousser des denrées dédiées à la consommation humaine. Autrement dit, les ruminants s’alimentent principalement avec de l’herbe qui pousse sur des surfaces non dédiées à la culture : zones de montagne où seul le pâturage est possible, parcelles libérées par la rotation des cultures, prairies permanentes, zones semi-naturelles où le bétail joue un rôle-clé dans l’entretien de l’écosystème… Par exemple, des génisses participent à l’entretien des pare-feux dans le Var pendant la période d’hiver. 

Le bétail ne doit pas être destructeur de l’écosystème mais doit, au contraire, en faire partie intégrante. L’agriculture doit être en équilibre avec son environnement : c’est le cas de ces productions laitières de montagne, comme dans les zones utilisées par l’Union des producteurs de Beaufort, avec qui Protéalpes travaille. Le bétail est en lien avec son milieu, et cela conduit notamment à une grande richesse floristique et une importante diversité des groupements végétaux présents dans les prés.

Concrètement, comment sont extraites les protéines ?

Après la traite, et l’utilisation du lait pour la production artisanale de fromage, le lactosérum est directement envoyé dans une usine, à Albertville. Ce point stratégique central permet une réduction considérable des transports, des pollutions associées, mais également du délai avant filtration. 

C’est donc à Albertville que la poudre de whey brute est produite. Absolument aucun procédé chimique n’est utilisé pour cette purification protéique. Effectivement, il s’agit d’un procédé de microfiltration, suivi d’une phase de séchage sans préchauffage, pendant lequel la poudre est quasi-instantanément séchée (ordre de la ms), suivant le principe de l’atomisation. 

Cette récente usine éco-innovante (2015) est équipée d’une technologie de méthanisation des boues biologiques. Les déchets de fin de cycle de filtration sont donc recyclés en énergie, ce qui permet à l’usine de ne rejeter que de l’eau dans les milieux naturels, et de produire près de 3 000 000 kWh par an.

Les autres ingrédients

Pour valoriser ces protéines si particulières, de très haute qualité, nous avons décidé de ne faire aucune concession sur la qualité, et donc de n’utiliser aucun additif, ni édulcorant. Ce n’est pas le sujet de cet article, mais dans certains cas, les additifs peuvent poser des problèmes concernant le dopage. Nous expliquons tout cela dans notre article la whey est-elle considérée comme du dopage ?

Pour formuler un produit agréable et prêt à l’emploi pour le sportif, nous n’ajoutons que des ingrédients naturels et non transformés. Le cacao, le sucre complet, l’arôme naturel de fruits rouges et la poudre de noix de coco que nous utilisons sont certifiés biologiques. Nous sommes donc certifiés Ecocert, afin de pouvoir communiquer sur l’origine biologique de ces ingrédients. 

En choisissant ces ingrédients biologiques, nous essayons de limiter au maximum l’impact environnemental, avec des cultures plus respectueuses de l’environnement et des hommes.

Les autres articles liés à la whey :

Un article écrit par

Aymeric Mendez & Guillaume Lavastre

Guillaume et Aymeric sont les fondateurs de Protéalpes. Ils sont également des pharmaciens, passionnés de nutrition et de sport.

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Fabriqué en France

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